Episode 2 – Switch.

Qu’y a t-il de commun entre le « change management » dont on parle souvent chez les executives ou dans les organisations, l’industrie du « self-help » ou du développement personnel, et la notion de « changer le monde » réservée aux activistes ?

……roulement de tambour…..

Et bien pour que quelqu’un change quelque chose (quelque soit son contexte), ce quelqu’un devra agir différemment. Comme le disait si bien ma grand-mère, « Laure, tu enfonces des portes ouvertes ». En d’autres termes, agir différemment est une évidence pour changer quelque chose.

Comment donc arriver à ce que les individus changent leurs comportements ? Parce que ce qu’une chose à laquelle nous allons être confrontés, c’est le fameuse résistance au changement.  Pourtant, malgré cette résistance, les individus opèrent toutes sortes de changements dans leurs vies. Des grands et des petits. Certains faciles, d’autres beaucoup plus difficiles.

Les changements réussis ont une « pattern commun ». C’est ce que les frères Heath écrivent dans leur livre Best Seller « Switch – how to change things when change is hard ».

Cela demande au leader du changement de faire plusieurs choses.

Premièrement, cela demande de changer la situation (voir post précédent). Mais ce n’est généralement pas suffisant.

Deuxièmement, cela demande d’influencer la tête et le coeur des personnes pour lequel le changement de comportement est attendu.

Et c’est là que les choses se corsent. Tête et coeur sont souvent en désaccord.

Vers l’épisode 3, c’est ici.